Donc voila, je me lance dans un roman. J'ai rassemblé mes idées, mes pensées. Je me considère comme l'héroïne, mis à part quelque détails (Je n'ai pas le physique effrayant à ce point, je ne suis pas blonde, je suis beaucoup plus jeune.) . Donc je n'ai pour l'instant écrit que le prologue. Je vais résumer mes chapitres et le roman pour un peu plus d'ordre. Je me permets de vous passer le lien vous menant au site que j'ai fait pour l'histoire (Ici ). Mais n'y allez pas pour tenter de trouver la suite, si vous aimez, car je n'ai encore rien écrit de plus. J'ai pleins d'idées qui tourbillonnent dans ma tête. Alors le premier chapitre sera bientôt écrit, je pense ! Voici donc le prologue:
Prologue ~ 'Passé présent.'
Je me jetai sur le lit avant de cligner des yeux pendant trois bonnes minutes. La fatigue me torturait depuis des jours et des jours, et des cernes bien marquées étaient présentes sous mes yeux sans vie, sans lueur d'espoir. Mes joues et mon nez rouges étaient recouverts de boutons. Mes cheveux secs et filasses me donnaient un air de folle. Je n'avais pas que l'air d'une folle, je l'étais. Alors que j'allais m'enfoncer dans un profond sommeil, peut-être éternel, je me mis à fixer le plafond fait de parquet. Mes paupières se fermèrent pour de bon. Mais je voyais encore le plafond. Le plafond en bois. Puis une latte se décrocha. Et deux. Et trois. Tout était en train de s'arracher. Et la masse de bois ne tarda pas à s'effondrer sur moi. Je fus écrasée. Un cri de douleur pu s'échapper de ma gorge. Mes côtes venaient d'être broyées. Ensuite, l'épais drap blanc se transforma en couche de neige. Une neige si douce que je croyais sentir les bras de ma mère. Les flocons tombaient toujours, et je me sentais enveloppée dans de la soie. Le calme était si reposant que je m'endormis pour de bon. Le noir total. Des battements de cœur lointain retentissaient. Puis le noir se remplaça par du vert. Un vert incroyablement vif. Et bientôt, des formes se tracèrent. Autour de moi se dressait un jardin verdoyant et bien entretenu. J'étais revenue chez moi. Dans mon enfance. La vieille balançoire se balançait comme d’habitude, au fond du jardin, sans personne autour. La balançoire hantée. Je me rappelais de l'époque, quand j'étais gamine. J'avais tellement peur que je n'allais pas dans le jardin toute seule. Je souris légèrement en repensant à mes caprices d'enfant 'gâtée'. La mélodie du passé me fit me plonger dans la nostalgie. Tout était si clair. Et rien ne s'était envolé. Chaque mot de mon histoire m'était resté. Les pages de ma vie...
Pas encore évanouies.
Faites une critique constructive pour que je puisse m'améliorer, sans pour autant me critiquer totalement (Madaaaaaaaaame se vexe facilement, hu hu ~ ), s'il-vous-plait! Ensuite, juste petite prévention... Svp, ne donnez que votre avi. Ne corrigez pas tous le texte, ou la grammaire. Je n'ai encore rien corrigé.